Cartographie des résidences


[Académie Nancy-Metz]
Amandine Turri Hoelken & Nabila Halim / photo documentaire
Affectation : Collège Vauban, Avenue Paul Mansard, 54400 Longwy, une résidence de territoire implantée en partenariat avec la ville de Longwy
Diplômées de l’ENSAD de Nancy (Diplôme National Supérieur d’Expression Plastique en Art) et de l’Université de Strasbourg (doctorat en anthropologie sociale et culturelle)
- Nabila Halim, née au Maroc en 1989, vit et travaille à Nancy. Elle intègre l’Ecole Nationale Supérieure d’Art et de Design de Nancy, et obtient en 2018 un DNSEP en Art.
À travers un travail autobiographique engagé en 2014, elle exploite le sujet de son cancer, catalyseur important de sa création plastique, dont découleront de nombreuses thématiques. Ses réalisations, riches de nombreux médiums (photographie, vidéo, installation…), abordent le corps, sa mécanique, son altération, sa place dans le(s) territoire(s), physiques ou mentaux, ainsi que la place des femmes dans l’espace publique et dans la société. Ces notions sont développées dans différents contextes, qui oscillent entre intimité frontale et métaphores. Elle a réalisé plusieurs résidences de création et son travail a été récompensé à plusieurs reprises :
lauréate des rencontres vidéo des écoles supérieures d’art du Grand Est en 2016, 1er Prix des Arts plastiques du Rotary pour la photographie au Grand Est en 2018, et lauréate de la biennale de la jeune création dans l’art contemporain de Mulhouse en 2019.
- Amandine Turri Hoelken vit et travaille à Nancy et Strasbourg. Elle réalise actuellement un doctorat en anthropologie (laboratoire DynamE) portant sur la photographie documentaire dialogique. En 2018, avec la complicité de Léa Jikkir, Nabila Halim et Clément Martin, elle co-fonde et co-organise le festival annuel Locomotion, festival de photographie et de vidéo expérimentale et sociale. Sa démarche plastique se situe ainsi au croisement de la photographie et de l’anthropologie. Elle réalise depuis 2010 des ateliers de photographie autour de l’information et des médias. Ces expériences ont été pour elle fondamentales dans l’approche humaine, l’ouverture culturelle et la transmission du savoir. Depuis 2016, elle travaille sur le projet documentaire Hallanwassalan / بیانڤنو , avec et sur des personnes réfugiées syriennes.
Clément Lefoll & Valentine Zeller / journalisme
Affectation : Collège Spitzemberg, 1 rue du Collègue 88490 Provenchère-sur-Fave
Diplômé du Master Journalisme et Médias numériques, Metz, Université de Lorraine
- Pigiste depuis 2 ans, Clément Lefoll couvre principalement des thématiques qui lient sport et société, en donnant la parole à ceux que l’on oublie trop souvent : bénévoles, supporters, amateurs, jeunes, réfugiés. Titulaire d’une licence en sport avant de se réorienter vers le journalisme, il réalise ses premiers articles pour des médias comme France Football, Le Temps ou l’Équipe, avant d’élargir le champs de ses reportages en travaillant en BD pour La Revue Dessinée, en réalisant des portraits de métiers pour la presse Jeunesse (TOPO, Phosphore) ou encore des enquêtes en France ou à l’étranger pour Mediapart ou Libération. En parallèle, il dispense des formations en Master Journalisme à l’Université de Lorraine et a participé à un premier projet de résidence dans le domaine de l’EMI (Education aux Médias et à l’Information) avec l’association Citoyenneté Jeunesse en Seine-Saint-Denis.
Photographe freelance basée à Strasbourg diplômée en photographie, école de journalisme de Paris
- Après une année en école de journalisme à Paris où elle se familiarise avec les bases de la radio et de la vidéo, Valentine Zeller décide de se tourner vers sa passion, la photographie, qu’elle apprend en autodidacte. C’est au cours d’un reportage effectué en Inde sur la condition des femmes en 2016 que l’envie de se lancer dans la photographie documentaire se concrétise. Son travail en Inde a été récompensé par le prix François Chalais du Jeune Reporter dans la catégorie Photographie. Après avoir fini une formation « Photodocumentaire et écritures transmédias » à Carcassonne, Valentine s’est lancée en freelance dans le photo-journalisme entre Paris et Strasbourg.
Jonathan Naas / arts visuels et horticulture
Affectation : Collège des deux Sarres, 2 route de Xouaxange, 57790 Lorquin
Diplômé de la HEAR (Haute École des Arts du Rhin) de Mulhouse
- Né en 1987, Jonathan Naas obtient un DNAP à la HEAR de Mulhouse, ainsi qu’un Bachelor et un Master en Arts Visuels avec mention à l’ÉCAL (Ecole cantonale d’art de de Lausanne). Son travail contextuel s’appuie sur la récupération d’éléments du réel, mis en scène dans des installations sombres et minimalistes. Ses œuvres questionnent les symboles et leurs codes, ainsi que les croyances et la transmission
des savoirs par un protocole rituel, influencé par le folklorisme, la mythologie, l’ésotérisme et la culture underground. Il a effectué de nombreuses résidences et a exposé en France et à l’étranger (Centre d’Art Langage Plus, Alma, Canada ; Académie des Arts, Vilnius, Lituanie ; Badapest Galéria, Budapest, Hongrie). Il s’intéresse notamment aux domaines de l’horticulture et de l’agrologie et aux techniques de
culture ancestrales oubliées.
Carole Nieder / architecture, art
Affectation : Cité Scolaire Alfred Kastler, 1 Rue de Munnerstadt, 55700 Stenay, une résidence de territoire implantée en partenariat étroit avec le PETR du Pays de Verdun, et accueillie à la Maison du patrimoine de Montmédy
Diplômée de l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Strasbourg
- Carole Nieder exerce aujourd’hui en tant qu’architecte et artiste dans l’agence Echo Architecture. En parallèle, elle enseigne le design d’espace à la faculté des Arts de Strasbourg et la performance et l’installation à la Haute Ecole des Arts du Rhin.
Depuis plus de dix ans, son processus créatif est basé sur une exploration sensible : il questionne les rapports et influences réciproques qui peuvent exister entre corps et espaces, à travers la notion de l’empreinte.
[Académie de Strasbourg]
Elphège Kongombé & Maëlla-Mickaëlle Marechal / théâtre, vidéo
Affectation : Lycée Kastler, 5 Rue du Luspel, 68500 Guebwiller
Diplômées du Théâtre National Strasbourg et du Conservatoire National des Arts et Métiers de Metz
- Elphège Kongombé s’est formée au conservatoire de musique, danse et théâtre de Cergy-Pontoise avant d’entrer au Théâtre National de Strasbourg. Elle apprend au côté de Véronique Nordey, Françoise Bloch et Stanislas Nordey. Elle s’intéresse en particulier aux questions autour du corps de l’acteur. Elle a fondé avec Maëlla- Mickaëlle Marechal et Estelle Deniaud le collectif Amélès afin de développer des interactions entre théâtre, danse et création numérique. Elle est actuellement en Master 2 à L’université de Nanterre et comédienne au Jeune Théâtre National. En 2019, elle a travaillé avec Anne Théron sur le texte, « A la carabine » de Pauline Peyrade dans le cadre du programme « Égalité et Proximité », mis en place par La colline, la Comédie de Reims et le Théâtre National de Strasbourg. Cette expérience enrichissante sur le thème du consentement lui a permis d’intervenir auprès de jeunes dans des zones rurales.
- Maëlla-Mickaëlle Marechal – ancienne sportive de haut-niveau en patinage-danse– se consacre à la réalisation. Programmée pour des performances (Centre Pompidou…) elle mêle chorégraphie et vidéo, jonglant entre réalisation et interprétation. Elle réalise ses premiers films après avoir intégré l’un des programmes de la Femis. Pour Jean-François Peyret, elle crée des vidéos de plateau, ou des captations (festival d’Avignon, théâtre National de la Colline, 104, MC93). Avec Agnès de Cayeux, elle compose Piper Malibu et Flâneuse Digitale (Centre Pompidou, Hexagone, centre d’Arts BBB, Cinéma-Galerie/ Bruxelles). En parallèle, elle donne des ateliers de réalisation.
Jésus s. Baptista / vidéo mapping, installation
Affectation : Collège Louise Weiss, 68 Rue Saint-Aloise, 67100 Strasbourg
Diplômé de la Haute École des arts du Rhin, option Didactique visuelle
- Diplômé de la HEAR en 2016, Jésus s. Baptista construit son travail autour de la conception de microarchitectures, couplées à de l’animation vidéo projetée. Etudiant, il réalise des projets avec les habitants de la favela de Cajù à Rio de Janeiro. Depuis, il travaille comme vidéaste plasticien indépendant dans un atelier partagé au sein d’un tiers lieu à Strasbourg, et entame une collaboration régulière avec une agence strasbourgeoise de vidéo mapping, donnant une autre dimension à ses expérimentations. En janvier 2019, il est invité par l’association Atka pour une résidence de création d’un mois dans le cercle polaire Arctique, au nord du Groenland. L’installation « Arsarneq » exposé au TCRM BLIIIDA à Metz en juin 2019 résulte de cette expédition, et amorce la réalisation d’un film documentaire expérimental, « Eau, métal, lumière », en 2020.
[Académie de Reims]
Emilie Evans / arts de la marionnette
Affectation : Collège Georges Sand, 640 Rue Roche des Diales, 08500 Revin
Diplômée de l’Ecole Nationale des Arts de la Marionnette de Charleville-Mézières.
- Metteure en scène, comédienne-marionnettiste et plasticienne formée à Charleville- Mézières, Emilie Evans est également titulaire d’une Licence d’Arts Plastiques, spécialisation arts numériques et performance, elle a pratiqué les portés acrobatiques pendant 12 ans à l’École de Cirque de Lyon. Elle a souhaité enrichir sa pratique corporelle du cirque avec des cours de danse contemporaine, street jazz, hip hop, Krav Maga et boxe tout au long de son parcours. Explorant le rapport à la nature et au vivant, son travail repose sur l’expérience sensible du spectateur. En 2020, elle crée à Reims la compagnie Brûlante.
Zacharie Lorent & Alice Gozlan / théâtre
Affectation : Collège Nicolas Appert, 15 Rue d’Oradour, 51000 Châlons-en-Champagne
Diplômés du Théâtre National de Strasbourg
- Zacharie Lorent entame sa formation au Studio d’Asnières puis intègre le Théâtre National de Strasbourg en section jeu. En 2014 il co-fonde la Compagnie A. Pour laquelle il écrit et joue. Il travaille sous la direction de Julien Gosselin, de Joris Lacoste, Alice Gozlan, Lazare, Justine Simonot ou encore Cendre Chassanne dans le solo Crocodile. Ainsi qu’avec plusieurs compagnies de théâtre de rue tel que Annibal et ses éléphants ou Oposito. Il mène une recherche-action dans le 95 sur les “récits de vies” : du récit singulier à l‘écriture collective (avec des professionnels et non professionnels).
- Alice Gozlan, metteure en scène et comédienne, se forme au Studio Théâtre d’Asnières ainsi qu’à Paris 3 La Sorbonne Nouvelle en études Théâtrales. Elle co-fonde la compagnie A(.) au sein de laquelle elle co-met en scène Chère Maman je n’ai toujours pas trouvé de copine ainsi que le Réserviste de Thomas Depryck et Archipel de Zacharie Lorent et Mélissa Irma. Elle joue en 2017 dans Le Mariage de Witold Gombrowicz au Théâtre de la Tête Noire, mise par Julia de Reyke (Collectif Mind the Gap), et dans Marché Noir conception Zelda Soussan et Aurélien Leforestie
Collectif Ben&Jo (Benjamin Mira, Joseph Montana & Aurélien Mathern) /
design graphique
Affectation : École primaire de Viéville (52310) et Collège Institution Chaumontaise Oudinot, route de Neuilly, 52000 Chaumont, en collaboration avec Le Signe (Centre National Graphisme) 1 Place Emile Goguenheim, 52000 Chaumont
Diplômés du Master Arts et Design de l’Université de Strasbourg
- Collectif hybride au croisement du studio de graphisme et de l’agence de communication.
- Benjamin Mira s’intéresse aux dimensions sociales et critiques de l’art. Durant ses études, il soutient plusieurs projet comme un colloque international sur l’archivage des arts, tout en participant à des appels d’offre comme Le Shadock.
- Aurélien Mathern s’est très vite intéressé aux métiers de l’image et de la communication par un parcours spécialisé dans le design graphique. Il réalise ses études à Chaumont, ville de l’affiche et du Centre National du Graphisme. L’étude des signes et leur sémantique sont devenues le moteur de ses recherches. Au fur et à mesure de ses projets, il se spécialise en dessin de caractères et porte la double casquette de designer graphique et typographe.
- Joseph Montana a toujours été attiré par le monde de la communication. Après un BTS, il décide de compléter ses compétences par le design graphique car il lui semblait indispensable de maîtriser autant la stratégie que la réalisation pour penser de belles campagnes, et pour leur donner vie.
Christophe Ruszkiewicz / journalisme
Affectation : Collège Amadis Jamyn 19 route de la Cordelière 10210 Chaource
Diplômé du Master Contenu et projet internet de Université de Lorraine, site de Metz
- Recruté par L’Est éclair (PQD) en 2013 après des études de Web Journalisme, Christophe Ruszkiewicz réside dans l’Aube depuis six ans. Ses fonctions sont variées : secrétaire de rédaction, rédacteur pour toutes les rubriques et, quelquefois, journaliste web. A l’aise avec la technique, il est régulièrement chargé de former les nouveaux arrivés au logiciel. Il intervient régulièrement auprès des écoles primaires et collèges depuis cinq ans dans le cadre de la Semaine de la presse à l’école.

[Académie Nancy-Metz]
Masha Wysocka – Belgique, Espagne / Photojournalisme
Affectation :
Lycée Polyvalent Félix Mayer, 2 Square G Bastide, 57150 Creutzwald
Collège Jacques-Yves Cousteau, 40 Boulevard du Garang, 57150 Creutzwald
Née à Brest (URSS)
- Titulaire d’une maîtrise en photojournalisme et photographie documentaire du London College of Communication, University of the Arts London, elle est également titulaire d’une licence en sociologie de l’Université de Strasbourg II et d’un diplôme en sciences politiques (Strasbourg). Née en URSS, elle a vécu et étudié au Royaume-Uni et dans différents pays européens, notamment en Pologne, en Espagne et aux Pays-Bas. Elle s’identifie comme un artiste multilingue qui embrasses les cultures de Cadix à Vladivostok. Dans sa pratique, elle s’intéresse aux croisements entre les disciplines : histoire, littérature, sociologie, philosophie, science politique, mathématiques. Elle parle allemand, anglais, russe, danois, espagnol, catalan, italien, et français.
Son projet « Re-mapping »
- Les frontières sont devenues le leitmotiv de Masha. Née dans un pays qui n’existe plus et dont les frontières se sont vues changer à plusieurs reprises, elle accorde une plus grande importance à la question d’identité et celle de la mémoire dans mon travail photographique. Durant sa résidence, elle voudrait explorer des territoires qui se trouvent à la lisière de deux ou trois états. Ces régions transfrontalières – souvent méconnues du grand public et absentes du discours national – sont devenues malgré elles une sorte de Terra incognita. En créant, avec les habitants, une carte alternative où les frontières ne sont plus une ligne rigide qui sépare les états, mais au contraire, un fil conducteur qui aiderait au mieux à comprendre des références et des valeurs communes que partagent les pays voisins. « Re-mapping » consistera en : Un temps de recherche et travail sur le terrain : conduite d’entretiens avec des habitants, études de topographie, échange d’idées avec des historiens locaux…
La production d’un travail photographique, en recréant des scènes de la vie d’aujourd’hui ou d’autrefois, basées sur les témoignages recueillis.
Avec les élèves : création d’un fanzine, autour des questions liées à l’identité, des frontières et de l’altérité, en mêlant photographie, collage et écriture.
[Académie de Strasbourg]
Violeta Wulff – Espagne / Danse contemporaine
Affectation :
Lycée Général Leclerc, 8 Rue Poincaré, 67700 Saverne
École du Centre, 7 Place du Général de Gaulle, 67700 Saverne
Collège Léonard de Vinci, 2 rue Albert Schweitzer, 67440 Marmoutier
Espace Rohan, Relais Culturel (ComCom du Pays de Saverne) / Quai du Château, 67700 Saverne
Née à Granada (Espagne)
- Violeta découvre la danse à l’âge de 5 ans. Après des études au Conservatoire Professionnel de danse «Reina Sofía» à Grenade, elle s’installe en Allemagne pour poursuivre sa carrière artistique à la prestigieuse école Palucca Hochschule de Dresde. Elle a travaillé au Tanztheater Münster (Allemagne) et à la Spellbound Dance Contemporary Company (Italie), avec laquelle elle a beaucoup tourné en Asie, en Amérique et en Europe. Depuis 2017, elle travaille à Marcat Dance avec un chorégraphe Mario Bermudez, ancien danseur de la Batsheva Dance Company.
Son projet : Création d’une pièce de danse contemporaine : «Terpsícore»
- Dans son travail, Violeta Wulff explore la ligne très fine qui sépare l’humour de tout thème engagé. En explorant ses propres limites en tant que danseuse, à la fois physiquement et psychologiquement, elle questionne la frontière entre humour et sérieux. Dans Terpsícore, l’apparence simple et réaliste de la danseuse pourrait, à première vue, déranger le public. En y regardant de plus près, les spectateurs commenceront à ressentir de la pitié ou de l’empathie. Très influencée par le monde de la science et de la gastronomie, Violeta souhaite prolonger son exploration de la réalité quotidienne. Que nous réserve l’avenir si nous continuons à progresser de cette manière ? En fusionnant danse et gastronomie méditerranéenne, elle nous propose sa vision onirique, sa fantaisie personnelle.. Avec les élèves, Violeta propose une activité ouverte sous forme d’un atelier d’improvisation, pour quiconque accepte le défi de bouger son corps et son âme sans se sentir jugé.
[Académie de Reims]
Pavel Ruzyak – République Tchèque / Cinéma, réalisation (documentaires et fictions)
Affectation :
Collège des Deux Vallées, Rue Voltaire, 08800 Monthermé
Collège Andrée Viénot, 23 Rue du 18 Juin 1940, 08230 Rocroi
Codecom : Vallées et Plateau d’Ardennes
Né à Ust-Kamenogorsk (Kazakhstan)
- Pavel a étudié à la FAMU de Prague, ainsi qu’à la Filmuniversität Babelsberg de Berlin. Réalisateur de film de fiction et de documentaires, il a travaillé pour le festival international du film de Karlovy Vary pendant plusieurs années, ainsi qu’avec l’un des meilleurs réalisateurs tchèque contemporain, Robert Sedláček. Ses films ont été projetés en compétition dans de nombreux festivals de cinéma internationaux en Europe. Il travaille actuellement sur plusieurs projets de longs métrages, déjà sélectionnés pour des événements aux festivals de cinéma de Vilnius, Beldocs deBelgrade, IFF Trieste, Figari IFF en Italie, IFF Riga…
Son projet : Ici, ailleurs, montage d’un premier long-métrage (documentaire)
- Avec des exemples audiovisuels et un partage de son expérience au Japon, Pavel souhaite inciter les jeunes européens à parler de leur propre environnement et quotidien, nourris par cette autre perspective et les images de ses séjours à Tokyo, qu’ils découvriront ensemble. Ce que nous savons généralement de la société japonaise contemporaine et de sa jeunesse, est empreint de clichés. Qu’est-ce qui rapproche les jeunes européens des jeunes japonais ? Qu’est-ce qui les sépare ? En différents chapitres, dans un style d’observation, Pavel souhaite proposer un portrait de la jeune génération.